13 avril 2007
Envies
Elles soulèvent ma peau, les envies. Mais aujourd'hui elles n'effleurent pas la banalité, pourtant ce n'est qu'un vendredi.
C'est un souffle qui s'abat délicatement sur nos corps épuisés, explosés par la la fatigue. Pas de maux pendant 2 petites journées. Ne rien faire. C'est une fausse liberté, puisque dans 48 heures, la routine reprendra ses droits, avec des chaines faites de biophysique et d'anatomie.
Je sais pas vraiment pourquoi j'écris ici, pourtant les mots me manquent et ma muse aussi. Mais il y a A. Et c'est lui qui reçoit les poubelles de mon âme sur des pages blanches. Je laisse des traces pourtant , des filets d'indice enrobés de métaphores mais ses yeux n'ont pas encore ricoché.
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